Le geek se définit comme le gardien de l'imaginaire d'une culture alternative, comme le dit cette chanson du Naheulband sans lui, règne d'une culture préformatée, avec TF1 comme modèle. C'est simplifier la donne. Comment oser prétendre que la culture geek dans son ensemble n'est pas une culture formatée ?
On pourra toujours trouver quelques esthètes pour dire que Rêve de Dragon est très littéraire et que Vampire la Mascarade est une expérience métaphysique très intello.
Star Wars et Star trek en référence ultime, soupes consensuelles et finalement peu subversives. le fait est que le geek véhicule une sous-culture chère à notre société. Les comics sont à de rares exceptions, pensons au label Vertigo, des soap-opéra pour ados. Les films cultes sont rarement des chefs d’œuvre et tendent pour bon nombre vers le cinéma d'exploitation. Les jeux de rôle se résument au final à botter le cul à un boss de fin de niveau après une enquête prétexte, les gurines ne servent qu'à différencier des collectionneurs/colleurs d'allumettes façon François Pignon. Les jeux video dépassés par leur succès se sont pliés aux règles des bonnes mœurs, ou ont choisi l'inverse, c'est à dire le racolage en vendant sexe et violence.
Les geeks sont des clones et restent les rejetons dégénérés de la culture US. La culture geek est une culture formatée car elle n'est en rien subversive. Le moindre fabriquant de jouet sort un buste de Batman à 200$, voilà que le geek se jette dessus, une réédition des cartes Magic des 90's, preneur là aussi.
On reconnait un geek à ses gouts standards, peluches Cthulhu pour tous, coca et pizza pour les autres
Notre culture est plus celle d'une tribu partageant les mêmes idoles et dieux, que celle d'un cénacle de poètes libres comme le vent.
Le discours qui fait fait la part belle à l'imaginaire n'est qu'une fumisterie, asociaux en toc, tartuffes en bloc les geeks ont beau jeu de critiquer les beaufs. La beaufitude existe dans cette sous -culture comme dans n'importe quel microcosme.
On pourra toujours trouver quelques esthètes pour dire que Rêve de Dragon est très littéraire et que Vampire la Mascarade est une expérience métaphysique très intello.
Star Wars et Star trek en référence ultime, soupes consensuelles et finalement peu subversives. le fait est que le geek véhicule une sous-culture chère à notre société. Les comics sont à de rares exceptions, pensons au label Vertigo, des soap-opéra pour ados. Les films cultes sont rarement des chefs d’œuvre et tendent pour bon nombre vers le cinéma d'exploitation. Les jeux de rôle se résument au final à botter le cul à un boss de fin de niveau après une enquête prétexte, les gurines ne servent qu'à différencier des collectionneurs/colleurs d'allumettes façon François Pignon. Les jeux video dépassés par leur succès se sont pliés aux règles des bonnes mœurs, ou ont choisi l'inverse, c'est à dire le racolage en vendant sexe et violence.
Les geeks sont des clones et restent les rejetons dégénérés de la culture US. La culture geek est une culture formatée car elle n'est en rien subversive. Le moindre fabriquant de jouet sort un buste de Batman à 200$, voilà que le geek se jette dessus, une réédition des cartes Magic des 90's, preneur là aussi.
On reconnait un geek à ses gouts standards, peluches Cthulhu pour tous, coca et pizza pour les autres
Notre culture est plus celle d'une tribu partageant les mêmes idoles et dieux, que celle d'un cénacle de poètes libres comme le vent.
Le discours qui fait fait la part belle à l'imaginaire n'est qu'une fumisterie, asociaux en toc, tartuffes en bloc les geeks ont beau jeu de critiquer les beaufs. La beaufitude existe dans cette sous -culture comme dans n'importe quel microcosme.
Ite missa est !
RépondreSupprimerLe système nous a eus et depuis longtemps d'ailleurs. Mais l'avons-nous jamais vraiment quitté ? ;)