J'ai découvert Conan sur le tard, en fait au début de la réédition de
ces chroniques de Conan. J'en avais une image assez ringarde, à la fois
tirée des films des 80's et de mon mépris pour l'ambiance à la D&D.
Pourtant certains de mes compagnons de jeux m'avaient dit il y a une
dizaine d'années qu'il y avait des choses valables dans les épisodes en
noir e blanc dessinés par Roy Thomas. J'ai laissé dire et ce n'est que
lorsque Panini a sorti l'intégrale 1971-1974, que j'ai compris ce que
j'avais manqué. Depuis je ne manque pas une occasion de me replonger
dans le monde hyperboréen et hyperviril du barbare.
Alors quid de ce nouveau tome? Pas grand chose, c'est vrai qu'on trouve le défaut réccurent à tout Conan : il est bandit, il chope une relique, se venge, va aux putes, séduit la princesse et la baise, tue le mage maléfique et repart vers d'autres aventures, X2, oui car il y a deux aventures en général par tome. Moi j'aime bien ça me détend deux fois par an et ça me permet d’accéder à la sous-culture texane qui m'a tant manqué quand j'étais gosse.
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